Intelligence Emotionnelle & ConsentPlace : Pourquoi l’article de The Harvard Gazette valide notre approche.

L’article de The Harvard Gazette fait un argument convaincant : l’ère des seules compétences techniques ou analytiques est révolue. Aujourd’hui, les organisations réussissent non seulement grâce à ce que les gens savent, mais par la façon dont ils interagissent, perçoivent et répondent. Il affirme :

Il y a des gens très compétents sur le plan technique et analytique, mais quand ils interagissent avec d’autres, les projets stagnent… Tant de ressources sont gaspillées dans des incompréhensions émotionnelles ou dans la difficulté des personnes à réguler leurs émotions. » The Harvard Gazette

Cette observation s’articule parfaitement avec ce que nous faisons chez ConsentPlace.

Voici comment :

  1. Conscience de soi & régulation → confiance numérique
    • L’article identifie la conscience de soi (« être conscient de ses propres pensées, sentiments ») et la régulation émotionnelle (« gérer nos émotions de façon saine ») comme des bases de l’intelligence émotionnelle.

      Chez ConsentPlace, nous intégrons ces concepts dans notre plateforme : en capturant des signaux sur le sentiment des utilisateurs, en ajustant dynamiquement les parcours, et en veillant à ce que les interactions ne paraissent jamais robotiques ou déconnectées. Autrement dit : le système est conscient de son propre « état émotionnel » (via des signaux) et peut adapter ses réponses en conséquence. The Harvard Gazette

  2. Conscience sociale & compétences → des parcours de consentement centrés sur l’utilisateur
    • L’article souligne également l’empathie (« noter ce qui se passe chez les autres ») et les compétences sociales (« capacité à bien travailler en équipe, à résoudre des conflits ») comme des composants clés de l’intelligence émotionnelle. The Harvard Gazette

      Pour ConsentPlace, cela signifie concevoir les expériences de consentement non pas comme des cases à cocher unilatérales, mais comme des conversations relationnelles. Nous reconnaissons le contexte de l’utilisateur, reflétons ses besoins ou ses préoccupations, et nous engageons de façon à bâtir la confiance et la transparence. Cela correspond exactement au message de l’article : l’intelligence relationnelle compte.

  3. Technologie + humain → le futur de l’interaction
    • L’article note qu’à mesure que l’IA et les interactions automatisées se multiplient, la connexion authentique entre humains devient plus importante :« À mesure que les gens interagissent de plus en plus avec des chatbots … je soupçonne que les interactions humaines authentiques, connectées, deviendront plus importantes. » The Harvard Gazette

      ConsentPlace va plus loin en faisant le lien entre l’intelligence émotionnelle centrée sur l’humain et l’interaction technologique — garantissant que même le consentement numérique devienne émotionnellement intelligent, véritablement humain-conscient.

En résumé : L’article de The Harvard Gazette souligne que les compétences relationnelles, émotionnelles et régulatrices sont désormais des compétences de base. ConsentPlace incarne cela en faisant de l’intelligence émotionnelle (EQ) non seulement un concept, mais la fondation structurelle de la façon dont les environnements de consentement doivent être construits : conscients d’eux-mêmes, socialement responsables, émotionnellement connectés.

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