
En juin 2024, The Guardian a publié un article éclairant : « Êtes-vous à 80 % en colère et à 2 % triste ? Pourquoi l’IA émotionnelle pose-t-elle de nombreux problèmes ?» (article en anglais)
Cet article soulève des questions essentielles :
L’IA peut-elle réellement lire les émotions ? Et si oui, devrait-elle le faire ?
L’article souligne les risques de l’IA émotionnelle – biais, interprétation erronée et manipulation – et prévient : « Une IA qui prétend lire nos émotions peut améliorer l’expérience utilisateur, mais elle présente de nombreux dangers en cas d’utilisation abusive.»
Chez ConsentPlace, c’est précisément là que notre technologie – et notre philosophie – diffèrent.
Nous pensons que l’intelligence émotionnelle doit responsabiliser, et non exploiter.
🔶 1. De la prédiction à la permission
Alors que de nombreux systèmes tentent de deviner les émotions, nous utilisons des signaux émotionnels déclarés, et non des capteurs invasifs.
Notre intelligence émotionnelle se construit avec l’utilisateur, et non sur lui.
🔶 2. Des biais à l’équilibre
The Guardian prévient que les modèles émotionnels reflètent souvent des biais culturels ou sexistes.
Notre moteur d’empathie surveille en permanence les émotions pour rester inclusif et neutre, garantissant ainsi leur exactitude quel que soit le contexte démographique.
🔶 3. De la manipulation au sens
Là où d’autres pourraient transformer la détection des émotions en pression marketing, ConsentPlace la transforme en intelligence relationnelle : elle lit le contexte pour guider, rassurer et créer un lien authentique.
Résultat : les utilisateurs se sentent respectés, et non profilés.
L’IA émotionnelle, bien faite
The Guardian perçoit le danger d’une analyse des émotions sans éthique.
ConsentPlace apporte la preuve que l’empathie et la conformité peuvent coexister, de manière responsable, efficace et à grande échelle.
Car l’avenir de l’IA émotionnelle ne consiste pas à savoir ce que les gens ressentent, mais à les aider à se sentir compris.
Attribution :
Cet article s’appuie sur les conclusions de l’article « Êtes-vous à 80 % en colère et à 2 % triste ? Pourquoi l’IA émotionnelle est source de problèmes », publié par The Guardian le 23 juin 2024. © Guardian News & Media Limited 2024. Tous droits réservés.
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